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Un poème publié en 1883 en l'honneur de Miklós Barabás, à l'occasion de l'attribution de l'Ordre de la couronne de fer impériale autrichienne

Gyula Reviczky : à Miklós Barabás

Ils m'appellent vieux; mais peu importe que vous l'êtes!
Les dieux ont donné une telle jeunesse
Qui supporte le temps, immortel ;
Il vit dans le pinceau, le son et le chant.
L'homme mortel n'est que la poussière de la terre ;
Mais l'art ne meurt jamais !
 

Ils m'appellent vieux; mais peu importe que vous l'êtes!
Vos lèvres peuvent parler de jours glorieux.
Quand vous étiez jeunes, chers amis
Il s'est réveillé à un âge béni et à de nouvelles idées.
Je t'appelle heureux parce que tu as pu le voir
L'ère de Széchenyi et de Vörösmarty.
 

Et vous avez compris plus, encore plus !
Quand le drapeau a été hissé
Et une chanson de bataille victorieuse a rugi:
Un artiste enviable, tu le comprends aussi,
Et beaucoup de gens formidables de ces grands moments
vous l'avez vu, vous le savez.
 

Pas avec des armes, pas avec un discours incendiaire,
Pourtant, vous étiez parmi eux avec une ferveur juvénile.
Tu as combattu avec tout le pays,
Pinceau à la main et feu dans ton cœur.
Et pour être admiré par les petits-enfants décédés :
Vous avez peint la salle des portraits de votre âge.
 

Et quelles images ! Le meilleur de nos gens
Elle défile en une longue file devant nos yeux :
Kossuth, le visage de Petőfi et tant d'autres,
- Qui pourrait en énumérer combien ! -
Hiven nous parle à travers vous.
Quelqu'un ne l'a-t-il pas encore vu ?... Je ne pense pas !
 

Et je dirai encore une chose. Soyez bénis pour cela aussi !
Vous ne prenez pas le grand monde autour de votre cou.
Vous êtes resté chez vous tranquillement, modestement ;
On peut aussi dire du natif : vive !
Le Hongrois le connaît comme son fils fidèle,
Dont la patrie n'est pas le vaste monde.
 

Par la grâce de Dieu tu comprends
Développement de l'art hongrois;
Et tes deux yeux le voient avec des larmes de joie,
Que votre pays a déjà un reportage photo.
La graine semée par les pionniers,
Réjouissez-vous, vous le verrez porter ses fruits !
 

Vivez votre vieillesse en paix.
C'était fructueux, tu n'as pas gâché ta vie.
Dans l'histoire de l'art hongrois
Vous vivrez tant que le mérite est le mérite.
À côté de votre nom dans le futur sera,
Être un pionnier, être l'un des premiers.

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